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Traitement d’une parcelle de colza par ROC-Microspray® Ci-dessus vous trouverez une comparaison des cartes de végétation d’une parcelle de colza partiellement traitée avec Roc-Microspray (la zone traitée est encadrée en noire) : À gauche (12 avril) : lendemain du traitement par ROC-Microspray (en mélange avec un fongicide) au début de la floraison. On peut noter qu’à ce moment précis, la zone d’essai est la plus faible en végétation. À droite : la même parcelle le 15 Mai. La zone d’essai, sur laquelle Roc-Microspray a été appliqué, est celle ou la végétation est la plus dense.

Après les intempéries En cas de pluie supérieure à 20 mm il est recommandé de renouveler l’application de Roc-Microspray ou Aura-Spray. Afin de réinstaller la barrière physique, mais aussi pour profiter des effets bénéfiques de la pulvérisation foliaire de chabasite micronisée sur la feuille : résistance mécanique, renforcement des parois cellulaires des plantes,… Et surtout pour bénéficier du pouvoir asséchant de la chabasite : en absorbant l’humidité excédentaire au niveau du feuillage, la barrière physique va limiter le développement des champignons pathogènes. En application après de forts orages ou de la grêle, Roc-Microspray et Aura-Spray favoriseront la cicatrisation des plaies et blessures en apportant des éléments minéraux directement sur place, tout en limitant le développement des maladies.

Lutte contre la mouche de l’Olive : c’est le moment ! En juin, la saison commence pour la mouche de l’olive. C’est le moment de commencer les pulvérisations régulières de ROC-Microspray et d’AURA-Spray afin de protéger les olives et de limiter les pontes des femelles. Une fois pulvérisé sur les feuilles et les olives, la chabasite agit de plusieurs façons : En formant une couche protectrice, elle réduit le contact avec les ravageurs ou les champignons pathogènes, En absorbant le surplus d’humidité pour limiter le développement des hyphes des champignons pathogènes, En favorisant l’absorption foliaire du calcium et du silicium qu’elle contient, elle renforce les parois cellulaires et la cuticule pour une meilleure résistance mécanique des oliviers face aux bio-agresseurs, En stimulant la production d’enzymes de défense de la plante, En rendant la surface foliaire moins appétente pour les insectes, et moins favorable à l’ovoposition (le choix du site de ponte) pour les femelles En « capturant » les signaux olfactifs émis par la plante qui attirent la mouche . Pendant la période de risque mouche de l’olive, renouveler le traitement toutes les deux semaines.